Tsef Zon(e)
C’hoari
danse
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Touille Mercredi 10 septembre à 19h00
devant l’église
gratuit / tous publics / durée : 40min
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Castillon de Larboust Jeudi 11 septembre à 19h00
devant la mairie
gratuit / tous publics / durée : 40min
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Rieux Volvestre Vendredi 12 septembre à 19h00
promenade du Préau, à côté du kiosque
gratuit / tous publics / durée : 40min
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Saint Elix Séglan Samedi 13 septembre à 19h00
devant la mairie
gratuit / tous publics / durée : 40min
Tsef Zon(e) , c’est le verlan breton de fest-noz. Vous l’aviez ? La compagnie C’hoari (à prononcer « roari ») investit Touille, Castillon de Larboust, Rieux Volvestre et Saint Elix Séglan pour quatre représentations… et quelques tourbillons !
Un vent breton se lève sur le Comminges. Sentez-vous ses effluves iodés ? Ce duo féminin puise son inspiration et enracine sa danse dans les codes traditionnels des fêtes bretonnes, qu’elles revisitent et qu’elles questionnent.
Elles sont en place. Dans un geste régulier et répété, elles se balancent et entrent dans la transe. D’abord accompagnées de musique baroque, à petits pas, un même souffle les emporte dans le mouvement.
De rondes en spirales, elles sont ensemble et à côté. Elles dialoguent, s’amusent, partagent, s’emmêlent et se démêlent dans un élan méticuleusement chorégraphié.
À bras-le-corps dansé, elles se saisissent d’un héritage commun, faisant battre une énergie communicative dans une ambiance de partage, festive et populaire !
spectacle accueilli dans le cadre du réseau En rue libre
C’hoari
La compagnie C’hoari (qui signifie “jeu” en breton) est constituée d’un duo de danseuses issues du contemporain qui s’interrogent sur leurs racines, les lieux de rencontres et ce qui nous rassemble.
Pauline Sonnic et Nolwenn Ferry se rencontrent lors de leur formation au Centre national de danse contemporaine d’Angers. Au cours de cette formation riche de diversités culturelles, les jeunes danseuses s’interrogent sur le lien qu’elles entretiennent avec l’héritage culturel Breton.
C’est dans un esprit d’aventure, de simplicité et de convivialité que la compagnie s’inscrit. Un processus de création émerge : le désir de retourner à ce qu’il leur paraît être plus “essentiel” les amène à aller au contact de ceux qui pérennisent la culture traditionnelle. Grâce à leur personnalité à la fois singulière et complémentaire, elles créent une écriture commune au service de leur danse.
Elles instaurent un dialogue sensible à l’improvisation et à la danse en extérieur.
Pour en savoir plus, c’est par ici.